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La Tombe des Oiseaux et le Gebel Ghibli

dans le plan de la Grande Pyramide

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   Voici l'un des volets les plus éloquents, sans doute, de nos travaux sur la géométrie de Khéops et de Gizeh. Les constats qui y sont établis nous paraissent assez frappants, et d'un intérêt incontestable pour l'analyse architecturale et pour la suite des investigations sur le terrain. De plus, en impliquant d'autres travaux que les nôtres (Gruais-Mouny, Collins), cette étude contribue à étayer encore plus solidement l'importance de l'approche géométrique, puisque différents travaux, dans le présent contexte, se corroborent et s'enrichissent mutuellement.

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   Nous prenons, pour point de départ : a) l'importance donnée, par Andrew Collins, à deux emplacements du site de Gizeh, la Tombe des Oiseaux et le Gebel Ghibli, relativement à une corrélation stellaire du même type que la fameuse Corrélation d'Orion popularisée par Robert Bauval, et b) l'idée de Guy Gruais et Guy-Claude Mouny selon laquelle le plan vertical de la Pyramide de Khéops se retrouve, à l'horizontale, sur l'ensemble du site de Gizeh incluant les trois pyramides et le Sphinx, comme on peut le voir sur la figure ci-dessous (Fig. 1), avec leurs "répliques" virtuelles, symétriquement situées, à l'Est, par rapport à un axe central nord-sud passant par le sommet de Khéops. (Ou en prenant les choses en sens inverse : ces auteurs ont proposé l'idée selon laquelle le plan horizontal de Gizeh peut être transposé sur celui, vertical, de Khéops.

   Cette idée de Gruais et Mouny, amplement développée dans leur ouvrage Le grand secret des pyramides de Guizeh, trouve une confirmation supplémentaire quand nous démontrons ici que deux emplacements du Plateau de Gizeh, la Tombe des Oiseaux et le Gebel Ghibli, s'inscrivent, de manière précise et incontestable, dans le contexte de cette transposition. Cette nouvelle confirmation des travaux de nos deux confrères ne peut qu'augmenter la nécessité de leur prêter une grande attention, et nous inciter à en tenir compte pour mener éventuellement des recherches dans les parties souterraines du site. D'autant que nos propres apports viennent s'y ajouter dans le même sens. Autrement dit, si l'on veut faire des recherches sur place, il nous paraît aujourd'hui impératif de considérer ces contributions géométriques à l'égyptologie.

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Fig. 1, tirée de Gruais-Mouny, Le Grand Secret des Pyramides de Guizeh, avec trois légendes apportées par nos soins.

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   La confirmation que nous apportons du postulat fondamental des travaux de Gruais et Mouny fait intervenir les travaux d'un autre chercheur, Andrew Collins. Celui-ci est l'auteur d'une "théorie stellaire", concurrente de la Corrélation d'Orion de Robert Bauval. Selon Collins, en effet, les trois Pyramides de Gizeh ne sont pas disposées de telle sorte qu'elles reproduisent, au sol, la disposition des trois étoiles du Baudrier d'Orion, mais plus exactement celles de trois étoiles de la constellation du Cygne. Cette théorie repose en grande partie sur la position de deux sites du Plateau de Gizeh, en marge des pyramides elles-mêmes et du Sphinx : le Gebel Ghibli, au sud-est, et la Tombe des Oiseaux (Tomb of the Birds), au nord-ouest. L'un de ces deux sites, le Gebel Ghibli, occupe un emplacement correspondant à une étoile de la constellation, Albireo, à l'instar des pyramides elles-mêmes, qui occupent les positions reportées comme on le voit ci-dessous (Fig. 2), tandis que la Tombe des Oiseaux ne possède pas de point stellaire correspondant.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Fig. 2. Plan d'A. Collins montrant la "corrélation stellaire" de Gizeh par rapport au Cygne (www.andrewcollins.com) Il faut évidemment se demander si la position de l'étoile Deneb correspond aussi à un point particulier du site, non apparent et encore inconnu, comme les quatre autres qui se placent sur les sommets des pyamides et sur le Gebel Gibli. Question d'autant plus légitime, peut-être, si l'on songe que Deneb est – de loin – l'étoile la plus brillante de la constellation, sa luminosité étant équivalente à celle de 300 000 soleils, alors que, par comparaison, celle de Sadir, la plus brillante après elle, représente "seulement" l'éclat de 20 000 soleils.

 

 

   La Tombe des Oiseaux est ainsi nommée en raison de la présence de centaines d'oiseaux momifiés qu'on y a découverts. Mais cette sépulture ornithologique recèle également un accès à de vastes cavernes.

    Le Gebel Ghibli est une petite colline où l'on pourrait soupçonner la présence d'un autre accès au monde souterrain de Gizeh, étant donné sa parenté avec le lieu de la Tombe des Oiseaux et son implication similaire dans le plan.

   La Tombe des Oiseaux, qui, nous l'avons dit, contrairement au Gebel Ghibli, n'occupe pas la position d'une étoile, se trouve cependant géométriquement connectée aux autres "points stellaires" que sont les centres (ou sommets) pyramidaux et le Gebel Ghibli. Et ces deux sites sont en relation l'un avec l'autre et avec les trois pyramides, comme on le voit sur l'illustration ci-dessous (Fig. 3).

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Fig. 3. Plan d'Andrew Collins, publié sur www.andrewcollins.com

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   Nous voyons, sur ce plan,

   - que la ligne joignant le Gebel Ghibli et la Tombe des Oiseaux (Tomb of the Birds) passe par le sommet de la pyramide de Khéphren (Khafre G2),

   - que cette même ligne entre la Tombe des Oiseaux et le Gebel Ghibli appartient à un triangle de Pythagore (côtés 3-4-5), dont le côté 4 (le côté horizontal sur le plan) passe par le sommet de Khéops. Nous retrouverons cette ligne dans le plan de la pyramide de Khéops (cf. ci-dessous Fig. 5 & 7)

   - que les distances sont les mêmes entre le sommet de Khéops, le sommet de Mykérinos (Menkaure G3) et le Gebel Ghibli, formant ainsi un triangle équilatéral (que l'on retrouve aussi dans la pyramide de Khéops, cf. Fig. 5)

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   En outre, les trois sommets des pyramides se trouvent sur la circonférence d'un large cercle dont le centre se trouve sur la prolongation de la ligne entre la Tombe des Oiseaux et le Gebel Ghibli (qui sort du cadre de l'image) (ci-dessous, Fig. 4).

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Fig. 4. Troisième plan publié par A. Collins et montrant un arc-de-cercle passant par les trois sommets pyramidaux, avec la ligne qui, passant par le centre de Khéphren à partir de la Tombe des Oiseaux (absente ici), conduit à son centre, au sud-est du Plateau de Gizeh. 

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   Le point central du cercle se situe approximativement à 1,3 km du Gebel Gibli d'après nos estimations et à 2,8 km du sommet de Khéphren d'après A. Collins. Là encore, il ne serait peut-être pas vain d'aller voir ce qui s'y trouve...

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   Ces trois plans d'Andrew Collins suffisent assurément à démontrer l'importance des deux lieux, Tombe des Oiseaux et Gebel Ghibli. Ils nous assurent aussi, d'une manière plus générale, que nous ne tombons pas dans le piège de la géométrie non-commutative, qui échafaude des constructions "sans rapports ou presque avec le site qu'elles occupent". Ce travers a été dénoncé par Stephen Skinner concernant des études faites sur l'abbaye de Glastonbury, le Parthénon d'Athènes et l'Osirêion d'Abydos. A Glastonbury, dit Skinner, toutes les "génératrices majeures", à une exception près, "tombent sur des points qui n'ont que peu ou pas de sens" (une mare, une rue, des maisons, un champ...). Dans le cas du Parthénon, on a voulu prouver la présence de la vesica pisces, une figure de la géométrie sacrée[1], mais "la plupart des points [de la construction faite dans ce but] n'ont aucune base physique et dépassent les limites de la plateforme sur laquelle le Parthénon fut construit, et donc n'auraient pu être utilisés par les architectes d'origine". A Abydos, c'est "l'analyse géométrique effectuée par Lucie Lamy d'un plan de l'Osiréion" qui est en cause, celle-ci n'ayant, selon Skinner, "aucune connexion avec la structure qu'elle est censée interpréter"[2]. A l'évidence, on ne saurait déceler, dans les observations que nous citons et que nous établissons nous-même, une telle absence de "connexion" ou de "base physique", ou un tel échouage "sur des points qui n'ont que peu ou pas de sens".

   Il est à noter, par ailleurs, que Skinner rejoint fondamentalement notre position lorsqu'il déclare, en évoquant des "chambres souterraines creusées dans le plateau de Gizeh avant la construction des pyramides" : "Je crois pour ma part que leur emplacement encore secret est lié à cette simple géométrie euclidienne grâce à laquelle il existe un rapport entre le Sphinx et les pyramides alentour, et que nous ne tarderons donc pas à les découvrir." [3] C'est exactement le point de vue dont procédait et que développait notre article sur une hypothétique "quatrième chambre" dans Nexus en novembre 2014, et c'est encore et toujours ce même point de vue que soutiennent l'ensemble des recherches dont nous publions ici le résultat et que tend à soutenir l'ensemble de nos recherches. Nous allons voir, en l'occurrence, qu'il existe non pas seulement un rapport de "simple géométrie euclidienne" entre les Pyramides et le Sphinx mais aussi entre les pyramides et ces deux sites plus ou moins tenus comme secondaires : le Gebel Ghibli et la Tombe des Oiseaux, et qui se révéleront, de ce point de vue des relations géométriques, d'une grande importance. Andrew Collins montre ce rapport à l'horizontale, sur le Plateau de Gizeh ; nous allons le révéler à la verticale, dans le plan de la distribution interne de Khéops.  

 

   Nous allons donc pouvoir montrer qu'il est possible de "placer géométriquement" le Gebel Ghibli et la Tombe des Oiseaux, de façon commutative et significative, non pas seulement sur le plan de Gizeh - ce qui est déjà, nous l'avons vu, fort édifiant - mais aussi dans le plan de la Grande Pyramide ; ce faisant, nous pourrons découvrir des concordances non-fortuites, justifier de la position de certaines structures – ou en tout cas situer certaines structures dans un rapport étroit avec la position des deux sites. Aussi extraordinaire que cela puisse paraître a priori, il est donc possible de retrouver une implication du Gebel Ghibli et de la Tombe des Oiseaux, à la fois sur le plan horizontal, à l'échelle du Plateau, et dans la géométrie de la Grande Pyramide, sur le plan vertical ; c'est sans doute un des prodiges supplémentaires dont témoigne cette construction.

   Rappelons, avant d'apporter les preuves et de montrer quelques détails de cette implication, un paramètre  à ne pas perdre de vue : d'après le principe de correspondance entre le plan vertical de Khéops et le plan horizontal de Gizeh, tel qu'il a été établi par Gruais et Mouny, ce qui est à l'ouest sur le Plateau, donc à gauche de notre point de vue quand nous le regardons d'en haut, se trouve au nord sur le plan vertical, donc à droite quand nous regardons la Pyramide depuis l'est selon la coupe faite selon l'axe nord-sud (voir plus haut, Fig. 1).

 

   I. Nous reportons, tout d'abord, sur le plan vertical de Khéops [dessin Franck Monnier pour Wikipédia, d'après les relevés de Gilles Dormion] la position du Gebel Ghibli (ci-dessous, fig. 5). Que voyons-nous aussitôt, et de façon étonnante ? En joignant le point correspondant à cette position du Gebel Ghibli avec le sommet de Khéops, d'une part, et, d'autre part, avec son angle de base nord, nous retrouvons le triangle équilatéral relevé par Collins (ci-dessus, Fig. 3) dont ce site représente l'un des angles. Sur la figure ci-dessous, l'angle de base nord de la pyramide et du triangle correspond donc à l'angle du triangle de Collins coïncidant avec Mykérinos.

 

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Fig. 5

      

   Ce triangle (en rouge), se place de telle façon que l'un de ses côtés coïncidence avec l'apothème nord. De plus, l'un des axes du triangle (en pointillé noir) est parallèle au conduit nord de la Chambre médiane, dite "de la Reine", et il passe par cette Chambre (plus exactement, si nos tracés sont corrects, par le sommet de sa voûte dont l'inclinaison semble être la même que celle de cette ligne). Cette double coïncidence, si elle était fortuite, serait déjà bien extraordinaire... Mais, l'importance des conduits dits "de ventilation" dans le plan de Pyramide étant, par ailleurs, abondamment attestée par nos recherches (ce dont nous avons fait état en partie dans notre article dans Nexus n°95), il est fort probable, au contraire, pour ne pas dire certain, que ce parallélisme doive être tenu pour un paramètre ou une propriété du plan d'ensemble. Et la suite, en effet, nous le confirme...

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    II. Plaçons maintenant la Tombe des Oiseaux, toujours sur le même plan vertical de pyramide vue en coupe. Deux nouveaux constats flagrants et frappants s'imposent :

    1) Le conduit-Roi nord est pointé (ligne verte) précisément en direction de la Tombe des Oiseaux.

   2) Une ligne (ligne bleue), tracée à partir du point de sortie du conduit-Roi sud, et parallèle à la Grande Galerie, aboutit exactement au point où l'aplomb de la Tombe des Oiseaux croise le niveau du Gebel Ghibli.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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  Fig. 6

  

   Ainsi, manifestement, les deux lieux, Gebel Ghibli et Tombe des Oiseaux, sont intégrés, de façon non fortuite, dans le plan de la pyramide, et les conduits dits "de ventilation" sont impliqués dans cette intégration (comme ils le sont, d'ailleurs, dans la quasi totalité du plan). La "visée" du conduit-Roi nord vers le point correspondant à la Tombe des Oiseaux constitue peut-être la révélation la plus nette et saisissante de notre étude.

  

   III. Nous joignons maintenant le Gebel Ghibli (point cerclé en vert, en haut à droite )avec le sommet de la pyramide, d'une part (ce qui correspond à l'un des côtés du triangle équilatéral vu plus haut), et, d'autre part, avec la Tombe des Oiseaux (point cerclé en vert, en bas à gauche), ce qui correspond à l'axe de ce même triangle que nous avons déjà vu. Ces deux lignes (en rouge continu et en pointillés rouges, ci-dessous, sur la Fig. 7) permettent de former, avec le conduit-Reine sud, un triangle (en rouge continu) dont l'axe, prolongé, transite par le point de départ du conduit-Roi sud, tandis que la ligne de jonction entre le Gebel Ghibli et la Tombe des Oiseaux transite, elle, par le départ du conduit-Reine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Fig. 7

 


   IV. Une autre ligne, à partir de la Tombe des Oiseaux et jusqu'à l'axe de la pyramide au niveau du Gebel Ghibli, est parallèle à la portion longue du Puits (ci-dessous, Fig. 8).

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Fig. 8

  

   Cette ligne n'est pas exactement la diagonale d'un carré ; son degré d'inclinaison est égal, comme celui de la plus longue portion du Puits, à 47° (omission faite des décimales). Nous pouvons donc envisager l'hypothèse que la portion longue du Puits a été construite précisément de manière à  satisfaire à cette option ; ou en tout cas, nous sommes forcés de constater qu'il y a une exacte coïncidence entre les deux lignes.


   V. En prenant cette même ligne parallèle à la portion longue du Puits comme rayon d'un cercle dont le centre se trouve sur le point de la Tombe des Oiseaux (toujours en haut à droite, cerclé en vert), nous voyons qu'il est possible de tracer un arc-de-cercle entre le point sur l'axe et le point de sortie théorique du conduit-Reine sud. Et, à partir du même centre (la Tombe des Oiseaux), un autre arc-de-cercle relie  le point de sortie du conduit-Roi sud et la jonction Puits-Descenderie.

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Fig. 9

  

 

   VI. Enfin, voici encore un "carré long". Le "carré long" n'est autre, rappelons-le, qu'un double carré, figure de la géométrie sacrée que l'on sait avoir été employée sur plusieurs sites et dans divers monuments de l'Egypte antique, à commencer par la surface au sol de la Chambre dite "du Roi" de la Grande Pyramide elle-même. Ses dimensions, ici, sont données par la distance entre la Tombe des Oiseaux et le sommet de la pyramide : cette distance détermine le petit côté du rectangle (ci-dessous, Fig. 9 ; désolé, les légendes font défaut). Le centre de ce rectangle coïncide avec le niveau de sortie théorique des conduits-Reine sur l'axe pyramidal (ligne en pointillé, passant en outre par le sommet de la voûte au-dessus des chambres dites "de décharge" de la Chambre dite "du Roi").

   On peut relever aussi que l'une des diagonales passe par l'entrée.

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Fig. 10


  

    Nous avons donc pu mettre en évidence au moins trois éléments d'importance :

   - premièrement, la validité confirmée du principe de transposition de Gruais et Mouny ;

   - deuxièmement, le constat incontestable, en fonction de ce principe, de l'intégration de la Tombe des Oiseaux et du Gebel Ghibli dans le plan du Plateau et de la Grande Pyramide ; ce constat d'ensemble comportant, dans le "détail", une donnée particulièrement nette : le conduit nord de la Chambre supérieure ("du Roi") pointé vers le point correspondant à la Tombe des Oiseaux.

   - troisièmement, la confirmation de l'implication prépondérante et diverse des conduits dits "de ventilation" dans le plan du monument, notamment dans la donnée que nous venons d'évoquer au niveau du deuxième élément.

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   L'entrée de la Tombe des Oiseaux (photo A. Collins)

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[1] Figure obtenue par l'imbrication de deux cercles se coupant l'un et l'autre de telle sorte que le centre de l'un se trouve sur la circonférence de l'autre, et réciproquement.

[2] Stephen Skinner, Géométrie sacrée (éd. Véga).

[3] Ibid.

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